Episode #10 – Adeline Pasteur

C’est un épisode précieux et délicat que je dépose à l’espace sacré de vos oreilles en cette fin d’année 2020 !

Une rencontre sur le fil … au coeur de la mémoire de nos seins aujourd’hui !

Avec ma dernière invitée de l’année, Adeline Pasteur, j’ose ouvrir la porte d’un sujet intime s’il en est et au cœur de nos vulnérabilités, notre émotion palpable dans nos voix et dans nos souffles : 

la maladie, la maladie au cœur de notre organe de fémininité et de maternité, la maladie au cœur de notre poitrine. 

Depuis le printemps 2020, Adeline est la créatrice, la rédactrice et la muse du blog Saint-Soutif – Au nom de la chimio et de la sécu, priez pour moi (et toutes les autres)

l’histoire d’une fille de presque 40 ans mise en lumière par la faille d’un cancer du sein.

Ensemble nous abordons la puissance de l’Oeuvre qui transcende nos vulnérabilités ; l’écriture comme acte de guérison, acte de trancendance, acte de témoignage aussi. 

Passage de transformation dans la traversée de la maladie.

Adeline nous témoigne de la force et de la puissance qui se révèlent à travers un parcours de soin en chimiothérapie. Non pas la force de rester debout coût que coûte mais bien celle de tomber, de toujours se relever et de s’accrocher à la vie. 

« Je refuse d’avoir ce même destin. » 

Avec coeur, Adeline partage son parcours de libération des mémoires transgénérationnelles, de cette caractéristique commune à nombre d’entre nous : la recherche de la perfection dans ses différents rôles de femmes. 

Pour elle, la maladie a un enseignement qui vaut de l’or et lui permet d’ouvrir un nouveau chapitre: cesser de vivre une vie conforme à des attentes extérieures conscientes ou inconscientes. 

« Je fais des choses uniquement si elles parlent à mon ventre. Je me suis rendue compte que les choses doivent partir de soi et pas être faites pour l’extérieur. « 

Se remettre dans son axe. Faire moins mais mieux. Être plus dans la joie au quotidien. 

Un épisode pour se laisser toucher, sans savoir ni comment ni par où, par la vibration de l’espoir, du sourire, de la grâce incarnés par Adeline. 

La magie de l’ouverture du coeur.  

Pour retrouver Saint-Soutif, le Blog : https://saintsoutif.wordpress.com/

Bande-son finale « NUOVO », reprise de Gianmaria Testa, à la guitare Victoria Mahu, au chant Pauline Fournier.

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